Nov 042010
 

L’espion qui nous haïssait…

Au grand dam de Nicolas Sarkozy, tous les journalistes ne sont pas « aux ordres », complices ou inoffensifs. Il en est aussi d’irréductibles qu’il faut surveiller de près : « qui s’intéresse un peu trop aux rétrocommissions du Pakistan, à l’affaire Woerth-Bettencourt… », cite en exemple Claude Angeli, rédacteur en chef du Canard enchaîné, qui révèle que le président de la République utilise la Division centrale du renseignement intérieur (DCRI, services secrets français) pour faire espionner les journalistes qui se livrent à « une enquête gênante pour lui ou pour les siens », cite Le Monde.

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